Parlons déjà de la couverture. Un dessin qui représente tellement de choses. On y devine l’horreur, le désarroi, la honte, la destruction. Ce dessin représente l’homme et la femme. Un dessin puissant.
Puis des récits retranscrit par l’auteur après avoir reçu des témoignages.
C’est un roman qui se lit au compte goutte, je doute que l’on puisse le lire d’une traite. Ces histoires d’inceste sont difficiles à lire.
Il est impossible de dire que l’on a aimé ou pas aimé ce court roman. Il est impossible d’y laisser une note.
Dans tous les cas il m’aura fallu le mois pour lire un récit de temps en temps.
Avis dans le cadre de la masse critique.